mercredi 3 juin 2009

"Droit de regard sur les idées"

On dit toujours le très grand tumulte de son cœur.
On dit parfois je suis tout seul, et je n’ai que moi pour me saisir l’épaule et m’apaiser…

Mon propre corps,
Mes propres bras.

« Dire les choses sans parler. Ou, quand le besoin s’en fait sentir, les coucher sur le papier. Avec le même toucher que tu avais sur moi »

Là. Ça te prend. L’envie d’écrire ; et tu es captif sans te soumettre.

Et puis non. Parce que quand ça ne vient pas, ça ne vient pas.

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Paris, France
"Kunst ist schön, macht aber viel Arbeit", comme disait l'autre.

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